Lors du bombardement aérien de Chinchow le 8 octobre, la délégation japonaise de la Société des Nations à Genève a perdu courage: « Peu importe à quel point nous insistons obstinément sur quelque chose, ce sera presque impossible de persuader un observateur impartial d’accepter. Une lettre de Lord Robert Cecil au ministre des Affaires étrangères Anthony Eden, datée du 26 mai 1936, indiquait : mettre de côté, personnellement, tout espoir de maintenir la paix par l’objuration ou les appels ou même l’influence sans aide de l’opinion mondiale. Ces influences qui ont finalement eu une grande puissance dans les affaires internationales n’ont jamais encore<br>a réussi à empêcher une guerre qui avait été déterminée par tout pays puissant. ...
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